Ma fifille, tu nous a quitté aujourd’hui aussi brusquement qu’un orage d’été. Une chirurgie préventive pour tes petites otites ponctuelles qui a mal tourné. Deux anesthésies rapprochées que ton cœur n’a pas supporté : tu me laisses la culpabilité de t’avoir emmené chez le vétérinaire en pleine forme mercredi et de te retrouver ce jour-d’hui pour toujours endormie. Au revoir ma princesse, salues Apache de ma part. Tu verras, vous vous entendrez bien. Vous étiez tous les 2 des supers chiens.